Au
tout début. Au moment de faire mon inscription. On m’avait parlé d’un ultratrail
«facile», si on peut utiliser ce mot pour un ultramarathon en sentiers. Mais à une centaine de jours, du grand jour, j’apprenais qu’au lieu de tourner autour de 1500m de
D+, et bien j’aurais droit à tout près de 2400m de D+. Ah ben!
Tu
fais quoi quand tu apprends une telle nouvelle. Quand tu apprends que ton défi
sera encore plus grand. Tu lances la serviette? Bien non. Voyons. C’est mal me
connaître. Je me dis plutôt qu’il me reste 100 jours pour améliorer ma
condition physique, mon endurance, pour faire face à la musique. Et réussir cet
ultra avec le sourire!
D’ici
l’UTBdM vous entendrez parler. Ou plutôt, vous lirez mes aventures estivales.
Mon
prochain arrêt à la mi-juillet, The North Face Endurance Challenge à Blue Mountain en
Ontario (#ECSON). Ultramarathon de 50km dans les sentiers du nord de l’Ontario.
Que j’ai fait l’été dernier. Mais cette année, question d’ajouter du piquant,
je poursuivrai l’aventure le lendemain matin avec un demi-marathon dans ces
mêmes sentiers.
Et
question de garder mes jambes actives jusqu’à l’UTBdM, je ferai le marathon SSQ
Lévis-Québec à la fin août.
Ben
quoi! Je suis une coureuse qui court. Qui carbure aux défis. Défis à la hauteur
de mes capacités. Car il y en aura toujours d'autres qui feront plus loin et plus vite
que moi, j’en suis consciente. Et honnêtement, je m’en «fou» un peu. Dans le
sens que je ne me compare pas aux autres. Je le fais pour moi et moi seule, et non
pas pour épater la galerie. Mais j’aime bien vous partager mon parcours, mes
embûches, mes victoires. La vraie vie quoi!
J’aime
aussi vous démontrer que tout est possible, il suffit d’y croire et d’y mettre
les efforts. Un kilomètre à la fois!
Marly
;-)
Crédit photo : UTBdM |
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